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15/11/2015 DIEU N'EXISTE PAS ! L"ENFER N'EXISTE PAS ! PAS DE NOE, PAS DE MOÏSE, PAS DE JESUS ! L'HOMME EST UN ANIMAL DUQUEL IL DESCEND !

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89volution_(biologie)

Puis, à partir de 1859 avec la publication de De l'origine des espèces par Charles Darwin2, le modèle darwinien de l’évolution s’est progressivement imposé dans la communauté scientifique comme celui expliquant un maximum de faits observables avec un minimum de postulats (principe de parcimonie). Darwin illustre avec des observations détaillées la thèse que les espèces vivantes ne sont pas des catégories fixes mais se diversifient avec le temps, voire disparaissent3. Comme cause des changements qui se produisent peu à peu au sein d’une population il propose l’idée de la sélection naturelle, équivalent naturel et spontané de la sélection artificielle pratiquée par les éleveurs d’animaux domestiques. Les espèces sont profondément conditionnées par leur milieu naturel, aujourd’hui appelé écosystème.

Avec la découverte de la génétique par Mendel, les modèles de l’évolution se sont peu à peu affinés4. Ainsi, depuis les années 1930, la théorie synthétique de l'évolution fait l’objet d’un large consensus scientifique5. Les recherches actuelles poursuivent l’étude des mécanismes qui permettent d’expliquer les phénomènes évolutifs6. Des processus découverts après 1950, comme ceux des gènes architectes, de la coévolution et de l’endosymbiose, permettent de mieux saisir les mécanismes génétiques en action, d’appréhender l’évolution des espèces les unes par rapport aux autres ou de décrire plus précisément les différents rythmes de l’évolution.

«L'évolution biologique n'est du reste qu'un cas particulier de l'universelle évolution, car rien n'est stable : nébuleuses, étoiles, continents et mers, climats, sociétés, mœurs, religions, tout est en perpétuelle transformation» 7
 
La théorie de l'évolution est appliquée et étudiée dans des domaines aussi divers que l'agriculture, l'anthropologie, la biologie de la conservation, l'écologie, la médecine, la paléontologie, la philosophie, et la psychologie.
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Historien
 

Un historien est une personne qui étudie ou communique sur l’histoire. Il a pour tâche de rapporter des faits passés, de les catégoriser, puis d'en proposer une interprétation équilibrée et justifiée par des sources, sous le contrôle du public informé1. Le titre d'historien n'est pas reconnu professionnellement et repose plutôt sur la reconnaissance par ses pairs. L'historien est souvent comparé au journaliste d'investigation, au détective ou au juge d’instruction, et il a tout intérêt à se conformer à une méthode reconnue. Il y va de la crédibilité de sa contribution et de ses conclusions.

Dans la société, le rôle de l'historien est large. Il est par exemple appelé à intervenir dans des procès, des expertises d'art, des commémorations, des inventaires de monuments historiques, des attributions de noms de rues, des successions, etc. Il peut aussi être sollicité pour révéler et prouver des instrumentalisations et manipulations de l’histoire à des fins partisanes ou idéologiques. Le métier d'historien a évolué au fil du temps faisant changer son rôle dans la société tout comme les différents aspects entourant son travail.

 

 L’historien s’applique à établir les événements ou phénomènes périphériques, à capter ou tenir compte des « silences » des documents et à débusquer les erreurs ou les omissions des « histoires de l'Histoire » en proposant, par exemple, une bibliographie critique. Il doit aussi rechercher - avec prudence - des causes, des mobiles aux actions humaines. L’un des aspects les plus passionnants, dans cette activité, consiste justement à faire parler des sources apparemment muettes ou inadaptées pour le sujet étudié.

La comparaison avec le juge d'instruction revient souvent pour désigner le travail historique. Comme lui, l’historien doit faire preuve d’impartialité et de distanciation. Cette attitude se traduit par la prise en compte des différentes versions d’un fait puis à distinguer celle qui est exacte sans être dominé par ses préjugés et ses passions. Si historien et juge d’instruction ont en commun la recherche de la vérité, la comparaison s'arrête là pour Marc Bloch. Le premier ne condamne pas (en tout cas, ce devrait être l’esprit de l’historien)4. Il n’émet pas de jugement de valeur : ceci est bon, ceci est mauvais. Pour la simple et bonne raison qu’un jugement serait absurde sachant que les systèmes de valeurs d’aujourd’hui ne correspondent pas à ceux d’autrefois5. L’historien doit seulement comprendre. Dans quelques cas, ce comportement peut choquer le public et entraîner des malentendus car en essayant de comprendre les périodes noires de l’histoire (Shoah notamment), on a l’impression que l’historien justifie et donc d’une certaine manière excuse les bourreaux. On l’accuse parfois de relativiser certaines atrocités du passé (l’esclavage des Noirs6) alors que la démarche historienne vise simplement à contextualiser les faits et à établir leur véritable importance. Quoi qu'il en soit l'anachronisme dans l'appréciation, l'évaluation ou l'interprétation d'un objet d'histoire est bien le principal écueil de cette discipline. En toute bonne foi, les historiens d'il y a cinquante ou cent ans, marqués par les mentalités de leur époque et l'air du temps, se sont laissés entraîner à l'aveuglement ou ont, à tout le moins, manqué de perspicacité pour expliquer certaines relations de cause à effet. Ils ont négligé certaines figures qui nous paraissent importantes aujourd'hui (dont beaucoup de femmes) ou, au contraire, ils ont valorisé certaines attitudes, certains principes ou certaines œuvres dont l'importance ou l'intérêt ont diminué à nos yeux

Les rôles sociaux et politiques de l’historien

Hérodote, que l’on considère comme le premier historien, justifie l’écriture de son livre Histoire : « c’est l’exposé de [mon] enquête pour empêcher que le passé des hommes ne s’oublie avec le temps et pour éviter que d’admirables exploits, tant du côté des Grecs que de celui des Barbares, en perdent toute célébrité, pour établir, enfin et surtout, la cause de la guerre qu’ils se sont livrée »7. En d’autres termes, la fonction d’un historien est d’entretenir la mémoire des événements passés et d’expliquer leur déroulement. D’Hérodote à aujourd’hui, rien n’a changé. On attend des historiens qu’ils nous racontent « ce qui s’est vraiment passé » (« wie es eigentlich gewesen », comme l'écrivait l'historien allemand Leopold von Ranke). Cette demande ne paraît pas s’essouffler quand on constate le succès des commémorations (millénaire capétien, bicentenaire de la Révolution française, 60e anniversaire dudébarquement de Normandie…) dans lesquelles l’historien fait figure d’acteur obligé.

De plus, la société demande aux historiens d’expliquer le présent à la lumière du passé. Face à l’actualité brûlante, elle attend d’eux une analyse qui permet de contextualiser l’événement, de le replacer dans une évolution temporelle et de comprendre les enjeux plus globaux. Bref, le savoir de l’historien est convoqué pour apporter du recul.

« Détruire les histoires fausses, démonter les sens imposteurs »8 : c’est en ces termes que l’universitaire rouennais Olivier Dumoulin décrit le rôle de ses collègues historiens. Il est suivi dans cette idée par Arlette Farge pour qui « l’histoire est à chaque époque le récit raisonné des événements, celui qui en évite la falsification et la honte des dérapages flagrants ou des dénégations mortifères ». Dans Les Assassins de la mémoirePierre Vidal-Naquet tenait également des propos semblables en mettant en garde contre les « mensonges » des pseudo-historiens auto-proclamés « révisionnistes » qui s'acharnent à nier l'existence des chambres à gaz et, plus largement, de la Shoah.

http://www.slate.fr/story/104227/cinq-raisons-jesus-jamais-existe
 

Cinq raisons pour lesquelles Jésus n’aurait jamais existé

 

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Histoire

  

mis à jour le 12.07.2015 à 13 h 54

Le personnage historique de Jésus est-il un mythe construit de toute pièce?

La plupart des historiens universitaires spécialistes de l’antiquité pensent que le Nouveau Testament (les évangiles) sont «de l’histoire transformée en mythologie religieuse». En d’autres mots, ils estiment qu’autour du début du premier siècle un rabbin controversé nommé Yeshua ben Yosef a gagné un certain nombre d’adeptes et que sa vie et ses enseignements ont fourni les éléments de départ de ce qui est devenu le Christianisme.

Dans le même temps, ces universitaires reconnaissent que de nombreuses histoires bibliques, une vierge qui donne naissance à un enfant, les miracles, la résurrection... sont une reprise de thèmes mythiques courants au Moyen-Orient à la même époque.

Depuis plus de 200 ans, un grand nombre de théologiens et d’historiens a cherché dans les textes anciens inclus dans la bible ou pas, à découvrir l’homme Jésus à travers le mythe.

L’hypothèse selon laquelle Jésus n’aurait jamais existé et serait un mythe construit pour donner un socle à une religion naissante est très minoritaire encore aujourd'hui. C’est sans doute lié au fait que pendant des siècles tous les chercheurs sérieux sur les origines du christianisme étaient eux-mêmes chrétiens.

Mais un nombre croissant d’universitaires s’interroge maintenant ouvertement sur la réalité historique de Jésus. Et ils avancent plusieurs arguments pour douter de la réalité de l'existence du personnage. Voilà cinq de leurs arguments.

-1- Aucune preuve matérielle du premier siècle confirme l’existence de Yeshua ben Yosef. Selon les termes de Bart Ehrman, Professeur de l’Université de Caroline du nord: «Qu’est-ce que disent les auteurs païens de l’époque de Jésus sur lui? Rien. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’existe pas la moindre mention de Jésus par ces contemporains païens. Il n’y a pas de trace de naissance, de transcription de procès, de certificat de décès. Il n’y a pas la moindre expression d’intérêt, pas de calomnies, pas de références passées, rien. Même dans tout le premier siècle, il n’y a quasiment pas de référence à Jésus par une source non juive ou non chrétienne».

 

-2- Plus frappant encore, les premiers auteurs du Nouveau Testament semblent ignorer la plupart des détails de la vie de Jésus. Paul semble ne pas avoir été informé de sa naissance d’une mère vierge. Aucun mage, aucune étoile à l’est, aucun miracle. Paul ne fait pas référence à l’autorité de Jésus même pour prouver ce qu’il avance. Il ne présente jamais les 12 apôtres comme des disciples et en fait ne dit jamais que Jésus a des disciples, que Jésus fait des miracles et que Jésus donne des enseignements. Pierre et Jean qui sont sensés être des personnages importants des débuts du christianisme sont considérés comme insignifiants par Paul qui s’oppose à eux et ne les considère pas comme de vrais Chrétiens!

-3- Même les évangiles ne se revendiquent pas comme des récits de première main. Nous savons maintenant que les quatre évangiles qui se sont vus donnés les noms des apôtres Mathieu, Marc, Luc et Jean n’ont pas été écrits pas eux. La désignation des noms donnés à ces évangiles s’est faite aux deuxième siècle, environ 100 ans après les débuts supposés du Christianisme.

-4- Les évangiles, les seuls récits «historiques» de la vie de Jésus, se contredisent à de très nombreuses reprises.  

-5- Les chercheurs modernes, ils sont nombreux depuis plusieurs décennies, qui affirment avoir finalement découvert des traces du «vrai» Jésus décrivent en fait des personnes très différentes. On trouve pêle-mêle un philosophe cynique, un religieux juif orthodoxe charismatique, un Pharisien libéral, un rabbin conservateur, un zélote révolutionnaire, un pacifiste non violent. Une liste complète se trouve ici.

Pour David Fitzgerald, ces cinq arguments mènent à la même conclusion: «la figure du Jésus est une construction du Christianisme et pas sa cause. Paul et la première génération de Chrétiens ont utilisé la version grecque Septuagint enrichie de la bible hébraïque pour créer une nouvelle foi en y ajoutant des rituels païens, des termes gnostiques un Dieu sauveur capable de rivaliser avec ceux des Egyptiens, des Perses, des Grecs et des Romains. Nous ne saurons peut-être jamais ce qui a été le déclencheur de la propagation du christianisme».

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SUITE ! http://yahwehsurmontdesoliviers.e-monsite.com/pages/6-11-2015-la-venue-de-notre-seigneur-et-grand-roi-en-sion-a-jerusalem-nous-allons-batir-une-jerusalem-de-joie-de-rire-de-fete-la-meilleure-communaute/15-15-2015-le-pape-francois-parle-des-signes-de-malheur-et-des-signes-de-l-esperance-de-la-venue-de-jesus-dans-la-gloire.html
 
 
 

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